25 ans après le Bug de l’An 2000, où en sommes-nous ?
Un véritable voyage dans le temps. C'est ce que j'ai vécu en retrouvant non seulement mon vieux livre, mais aussi mon Amstrad CPC 6128 complet.
Cette machine, témoin de mes premiers pas dans le monde de la programmation avec le BASIC Locomotive, a ravivé des souvenirs intenses. C'était l'époque où l'on découvrait les joies du codage en tapant des lignes de texte sur un écran cathodique, où l'imagination était la seule limite.
Ce retour aux sources m'a ramené également 25 ans en arrière, à l'aube du nouveau millénaire, où le fameux bug de l'an 2000 faisait trembler le monde.
À l'époque, on craignait un effondrement des systèmes informatiques. Ma première mission en SSII, en 1999, était d'ailleurs directement liée à ce fameux bug. J'ai passé la nuit du 31 décembre 1999 au 1er janvier 2000 à surveiller les systèmes, redoutant un blackout généralisé.

Finalement, la catastrophe n'a pas eu lieu. Avec le recul, le bug de l'an 2000 semble presque anecdotique. Pourtant, il a marqué les esprits et a servi d'avertissement quant à notre dépendance croissante à la technologie.
En 25 ans, le monde a connu une transformation numérique sans précédent. L'intelligence artificielle, la cybersécurité et l'informatique sont devenues des piliers de notre société.
L'IA, autrefois cantonnée à la science-fiction, est désormais présente dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne. La cybersécurité, quant à elle, est devenue une préoccupation majeure face à la multiplication des cyberattaques.
Notre futur, entre Ready Player One et Terminator ?
Alors que nous nous tournons vers 2050, une question se pose : quel visage la technologie façonnera-t-elle ? Serons-nous plongés dans un monde virtuel à la "Ready Player One", où la réalité augmentée et les mondes virtuels prendront une place prépondérante ? Ou assisterons-nous à l'avènement d'une ère dominée par l'IA, rappelant les scénarios de "Terminator" ?
Il est difficile de prédire l'avenir avec certitude. Cependant, une chose est sûre : la technologie continuera d'évoluer à un rythme effréné, avec son lot de promesses et de défis.

Se replonger dans le passé, à travers des objets comme mon Amstrad CPC 6128, nous permet de prendre conscience du chemin parcouru et de mieux appréhender les enjeux du futur. La tech-nostalgie n'est pas qu'un simple attachement au passé ; c'est aussi un moyen de nourrir notre réflexion sur l'avenir de la technologie.

Le code informatique que je découvrais sur mon CPC 6128 est radicalement différent de ce qu'il est de nos jours. Le langage BASIC, très populaire à l'époque, a laissé place à des langages plus complexes et plus puissants comme Python, Java ou C++. De plus, les méthodes de développement ont également évolué, avec l'apparition de l'intelligence artificielle qui peut désormais générer du code.

L'Amstrad CPC 6128 est un symbole d'une époque où l'informatique était en pleine effervescence.
Aujourd'hui, nous sommes à l'aube d'une nouvelle révolution technologique, portée par l'IA et la cybersécurité.
Il est important de se souvenir du passé pour mieux appréhender l'avenir et les défis qu'il nous réserve.
Pour les passionnés de l'Amstrad CPC, je ne peux que vous conseiller l'ouvrage de Patrick Helio, Génération Amstrad CPC, un travail titanesque qui ravivera à coup sûr vos souvenirs.
